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Un tueur maniaque sévit dans l'agglomération des Villes jumelles : St. Paul et Minneapolis. Les crimes perpétrés par le chien-loup - c'est ainsi qu'il a été surnommé - présentent une double caractéristique : les femmes assassinées le sont à chaque fois dans des conditions particulièrement atroces; le criminel agit avec une minutie qui n'a d'égale que son irrépressible besoin de tuer. Il a même établi des "lois" à son propre usage : "Ne jamais tuer quelqu'un que l'on connaît"; "Ne jamais avoir de mobile" ; "Ne jamais porter d'arme après usage"; "Prendre garde aux preuves physiques", etc. Avocat au barreau, le chien-loup met en scène ses crimes avec d'autant plus de complaisance que la presse lui accorde de plus en plus d'espace. Après le troisième meurtre, la police fait appel à Lucas Davenport. Flic marginal aux yeux de ses collègues, il partage avec l'homme qu'il va traquer le sens du jeu et le goût de la manipulation. Inventeur de logiciels, utilisant une Porsche comme voiture de fonction, Davenport est, lui aussi, un solitaire, et il sait qu'il n'a aucune chance de réussir s'il ne force pas le chien-loup, à un moment ou à un autre, à enfreindre ses "lois". Entre les deux hommes, un troisième partenaire : les médias. Omniprésents, ils vont jouer un rôle essentiel, à la fois manipulateurs et manipulés, instaurant une sorte d'échange occulte avec le tueur : ses crimes alimentent les médias; les médias, eux, alimentent son désir de tuer. Le Jeu du chien-loup a connu lors de sa sortie aux Etats-Unis un immense succès public. Il a été salué par plusieurs maîtres du roman noir comme une entière réussite. Stephen King l'a qualifié de "livre fort, effrayant et captivant".
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